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Salut salut salut! (Flanders, sors de ce corps)
Ca y est, je suis revenue - même si je suis loin d’avoir récupéré - de la Chevron 7.8.
Chevron, quezaco ?
Il s’agit d’une convention, à dominante Stargate, qui revient environ deux fois par an. Elle est organisée par Massive Events, et se tient en Angleterre.
La 7.8 avait lieu à Heathrow, plus précisément à l’hôtel Radisson Edwardian. Luxueux, feutré, le cadre était splendide. Les Gaters qui avaient leur chambre là-bas ne s’en sont pas plaint. (Mais l’Ibis tout proche n’était pas mal non plus ^^, et plus abordable)
Avant tout, des excuses, parce que contrairement à la Halfway - dont vous attendez encore le compte-rendu - je n’ai pas pu tout prendre en note, concentrée sur la compréhension comme je l’étais.
Pourquoi j’y suis allée ?
Cela tient en trois syllabes : A-man-da . Et oui, je ne voulais pas rater ce qui serait peut-être ma seule occasion de la voir en convention. J’ai une relation toute particulière avec le personne de Sam, et j’adore Sanctuary, donc je ne POUVAIS pas laisser passer cette occasion.
J’avais déjà vu Robin à l’occasion de la Halfway Convention cet automne, et le revoir, qui plus est en duo avec Amanda, augurait de bon fous rires. Cette impression ne s’est pas démentie.
Le duo Garry Chalk / Tom Mc Beath (Chekhov/Maybourne) s’est révélé plein d’entrain, avec de multiples anecdotes eu égard à leur longues carrières respectives.
Mais l’excellente surprise vient de Peter Kelamis. Amené à remplacer au pied Patrick Gilmore, le comédien s’est révélé être un véritable comique. Il a un certain don pour imiter Robert Carlyle, et est d’une gentillesse à toute épreuve, facilement abordable. Il est d’ailleurs resté jusqu’à la toute fin de la dernière soirée, ainsi que Garry Chalk avec les Gaters.
En plus, là où certains vont trouvé que ça casse la “magie” de la SF, j’adore connaitre ces petites anecdotes de plateau.
Ce que j’ai aimé ?
Retrouver une somme de têtes connues : nous étions pas mal de français, chose accentuée, sans doute, par la présence d’Amanda Tapping...
Même la chute fut dure, le lundi soir, lorsque je me suis retrouvée seule chez moi.
Comme à chaque évènement, la facilité à discuter avec des gens qu’on ne reverra pas, ou seulement à l’occasion de conventions. C’est facile de nouer la conversation quand on a une passion commune (et un niveau correct d’Anglais je dois l’avouer).
Ce que j’ai moins aimé ?
Le coté extrêmement mercantile de cette convention … même si c’est sympa de pouvoir ramener quelques souvenirs.
Et comme d’habitude, avec les autres Gaters les retrouvailles furent chaleureuses et les adieux attristés, atténués par quelques dernières photos, et un départ groupé.